Mistis la voleuse

C’était un soir où le ciel grondait, où il pleuvait averse. Un troll faisait les cents pas sous la pluie devant l’entrée d’une hutte. Il semblait attendre quelque chose. Par moment il s’arrêtait de marcher et tendait une longue oreille bleu vers là porte de la cabane en espérant entendre quelque chose. Puis il recommençait à marcher devant la hutte sans s’arrêt. Soudain un bruit le fit stopper net. Il tourna la tête vers la porte et entendit un cri qui le fit sourire. C’était un cri de nouveau né. Le rejeton criait à pleins poumons. Le troll sentit son cœur s’emballer encore plus que lorsqu’il attendait avec impatience devant la cabane en bois. Il attendais encore en écoutant, le cœur remplis de joie les cris perçant de l’enfant que sa femme venais de mettre au monde.

La porte s’ouvrit enfin et une vieille troll à la peau flasque et verte lui sourit en l’invitant à entrer. Sur le pas de la porte le troll apercevait déjà dans le coin gauche son épouse sous d’épaisses couverture. Le troll avança rapidement vers elle et s’accroupit auprès de sa bien-aimée à qui il donna un baiser.
– Regarde, Mun’zin, c’est notre fille, lui avait-elle dit.
Mun’zin se pencha un peu pour découvrir, enveloppée dans une couverture blanche une petite trollesse à la peau aussi bleu que la sienne. Elle dormait profondément après avoir crié de toutes ses forces.
Mun’zin échangea un regard avec sa femme et tous deux sourirent avant de reposer leur yeux émerveiller sur leur fille.
– Comment va-t-elle s’appeler ? demanda la vieille trollesse qui s’était approchée d’eux sans un seul bruit.
Mun’zin regarda avec insistance sa fille puis déclara :
– Elle s’appellera Mistis.
La pluie martelait toujours le toit de la hutte et ce fut le cas pendant tout le reste de la nuit. Mun’zin raccompagna la vieille troll docteur dans sa propre hutte puis retourna auprès de sa femme et posa délicatement Mistis dans son petit lit avant d’aller rejoindre son épouse dans leur lit. Ils eurent bien du mal a trouver le sommeil cette nuit là car ils observaient tous les deux le lit de leur enfant. C’était sans nul doute la chose la plus belle qu’il ne leur était jamais arrivés.

Le lendemain matin Mun’zin partit travailler. Il embrassa amoureusement sa femme et fit un bisou sur le front de leur petite trollesse qui dormait encore profondément. Mun’zin pêcha dans sa barque mais ne réussi guère attraper le moindre poisson. Ses pensé était rivés sur sa petite Mistis. Il ne l’avait à peine vue plus de quelque heure la veille et il en était déjà fou !
Dans la hutte, la mère de Mistis, c'est-à-dire Zum’ji, s’affairait à ses taches habituelle en veillant bien ne pas trop se surmener après son accouchement. Mais sa préoccupation première était bien évidemment Mistis qu’elle aimait énormément et qu’elle protégerait de tout ce qui pourrait lui nuire.

La vie continua ainsi pendant encore très longtemps. Mistis grandit entourée de l’amour de ses parents. Elle se fit plein de copines avec lesquelles elle s’amusait bien. Elle avait fait des bêtises, comme tous les enfants, et comme eux elle avait reçut les punitions qu’elle méritait mais Mun’zin et Zum’ji était fière de leur petite Mistis qui avait des cheveux d’un vert presque fluo. Une telle couleur était un fait rare, même chez les trolls. Cela rendait Mistis d’autant plus belle aux yeux de ses parents.
La jeune trollesse passait des fois du temps avec son père sur la barque pour pêcher en sa compagnie. Mun’zin appréciait ces moments seul à seul avec sa fille et il en profita tant que ces moments duraient car Mistis n’était pas une trollesse très patiente et là pêche l’ennuyait un peu plus à chaque fois. Et un jour elle abandonna cette activité pour passer d’avantage de temps avec ses amies. C’était bien plus amusant que de passer ses après midis à attendre qu’un stupide poisson veuille bien mordre à son hameçon pour lui faire plaisir. Dommage pour les moments tranquille qu’elle passait d’habitude avec son père, mais de toutes façons, ce qu’elle avait à dire ne pouvait plus qu’être entendu par d’autres filles car elle avait grandit et il y avait certaines choses qu’elle n’osait plus dire à son père. C’est à cet âge là que Mistis développa une complicité nouvelle avec sa mère.

La vie était belle pour cette famille troll, trop belle hélas pour qu’elle dure toujours… Un jour Mistis était chez elle, dans la hutte où elle était née. Elle était là avec plusieurs de ses copines pour fêter l’anniversaire de ses seize ans. Ils était tous assis sur le sol de la cabane avec Mun’zin et Zum’ji. Tous, assis autour d’une sorte de nappe rouge sur laquelle était disposé leurs assiettes. Ils avaient apparemment fini de manger et Zum’ji c’était levée pour aller chercher tous les cadeaux que Mistis attendait avec impatience.

Il y avait parmi ses nombreux cadeaux un flacon d’une huile à appliquer sur ses cheveux pour leur donner une odeur particulièrement somptueuse et très efficace pour attirer les garçons d’après la meilleure amie de Mistis. Il y avait également des boucles d’oreilles très classiques, deux anneaux en faite. Une autre de ses copines lui avait offert un long élastique pour attacher ses cheveux verts. Et son père lui avait lui fait cadeau d’un bracelet en argent. Il l’avait acheter au vieux Vun’ji qui passait son temps en voyage pour trouver toute sorte d’objets aux utilités pas toujours évidente.

Plus tard dans l’après midi, Mistis et sa meilleure amie voulurent prendre la barque de Mun’zin qui leur céda pour l’occasion des seize ans de sa petite fille adorée à condition qu’elles soit rentrée avant que le soleil ne commence à ce coucher. Il ne leurs restait plus qu’à obtenir la permission des parents de Jun’zul, l’amie de Mistis et elles n’eurent aucun mal à l’avoir. Les deux adolescentes se précipitèrent au bord de l’eau et tirèrent la barque dans l’eau puis montèrent dedans Jun’zul commença à ramer puisque Mistis voulait s’admirer coiffée avec son nouvel élastique.
– Ca te vas bien cette coiffure là, dit Jun’zul. Prend le gouvernail pour que je ne tourne pas en rond en ramant s’il te plaît.
Mistis obéit et elles s’éloignèrent du rivage peu à peu.
– J’ai adoré cette journée, déclara Mistis. Ca serait pas faisable de faire comme si c’était tous les jours mon anniversaire ? se demanda t-elle à haute voix avec un large sourire sur le visage.
– Dans tes rêves, oui, rétorqua Jun’zul avec le sourire. Dans trois jours c’est moi qui vais avoir seize ans ! T’as pas oubliée au moins ? rajouta la jeune trollesse en croyant déceler chez Mistis une expression de surprise lorsqu’elle avait annoncée son anniversaire. Mais Mistis ne lui répondit pas vraiment. Elle se contenta de la dévisager de ses yeux jaune avec un petit sourire au coin de la bouche.

Bientôt Mistis se rendit compte que le soleil se couchait et que le temps semblait se dégrader. Elle entendait déjà le tonnerre au loin et d’épais nuage noir menaçait soudain Sombrerivage. Jun’zul se remit à ramer et Mistis dirigea leur trajectoire grâce au gouvernail. Une fois qu’elles eurent atteint le rivage elle sortit la barque de l’eau et se dirent à demain avant de se séparer. Mistis remonta jusqu’à chez elle. Et c’est sur le seuil de la porte qu’elle entendit un bruit sourd et lointain. Elle se retourna en cherchant du regard ce bruit si inhabituel qui se rapprochait dangereusement du village…

Et encore un superbe histoire merci Miss !!

J'écris la suite car ça ne fait que commencer ^^

beh j'espère paque sa fait 2-3fois que je la relis et sa ménerve de resté sur cette fin...

J'ai fait exprès de terminer comme sa la 1er partit ^^
c'est pour mettre l'eau à la bouche

C'est pas l'eau que tu ma mit la c'est l'océan idien !!

tu semble ête le seul a réagir à ce que j'ai écrit... soyez pas timide les autres ^^

C'est good
Aller la suite!

La suite est entrain de s'écrire ^^ elle à mi-chemin

J'espère que cette suite satisfera tous ceux qui l'attendaient avec impatience et j'espère également qu'elle donnera envie aux autres de lire ce que j'écris. (n'ayez pas peur à la vue d'un grand texte ça se lis facilement)

Comme Mistis, d’autres trolls de la tribu c’était tourné vers l’entrée du village d’où provenais le mystérieux bruit. Tous les trolls semblaient au moins aussi inquiets que la jeune Mistis. Le bruit semblait se rapprocher toujours plus. C’était un bruit sourd qui s’amplifiait de seconde en seconde et que Mistis n’avait encore jamais entendu auparavant. Pourtant elle savait au fond d’elle-même que quelque chose de dangereux s’approchait du village.

Elle découvrit son père qui remontait du ponton et qui dressait les oreilles vers l’endroit d’où bruit émanait. Mistis observa avec attention le visage de son père car elle le connaissait bien et elle serait capable de tirer des conclusions d’un simple froncement de sourcils venant de lui. Mistis s’aperçut que Mun’zin ralentissait son allure pour finalement s’arrêter complètement quelques secondes. La jeune trollesse vit comme un éclair dans les yeux de son père qui se tourna immédiatement vers elle.
– Rentre et monte à l’étage avec ta mère ! s’écria Mun’zin.
Mistis recula dans l’encadrement de la porte alors que le bruit qui faisait l’objet toutes les attentions résonnait et faisait presque trembler la terre. Mistis vit enfin l’origine de tout ce bruit devenu assourdissant. Des cavaliers humains, elfes, nains et même des petits gnomes cavalais droit sur le village. Il piétinait les trolls et trollesse qui ne s’ôtaient pas de leur passage. Mun’zin répéta encore à sa fille de rentrer se mettre à l’abri avec sa mère et n’eut pas besoin d’insister d’avantage pour se faire obéir. Mistis était paniquée et elle avait refermé la porte derrière elle alors que son père venait à peine de lui répéter son ordre. Elle appela sa mère d’une voix tremblante et paniquée. Et pendant qu’elle attendait une réponse, un signe ou n’importe quoi d’autre de la part de sa mère, Mistis songeait à son père qui était rester dehors pour affronter les envahisseurs. Elle avait très peur pour lui mais n’osait pas retourner à l’extérieur. Elle entendait des hurlements de trolls terrifier, des cris de douleurs ou même de rage. Des combats s’engageait au dehors, Mistis entendait l’entrechoquement de fer tout près de la porte de sa hutte.
– Mistis ? C’est quoi ces cris dehors ?
Mistis fit volte-face en entendant ça mère lui parler. Zum’ji descendait les marches qui montait 1er étage de la cabane. En voyant la panique de sa fille, Zum’ji ne se sentit pas rassurée sur ce qui se tramait dans le village.
– Mistis ? à t-elle insistée.
– Maman ! Papa veux qu’on aille en haut !
– Mais pourquoi ? Pourquoi…
Zum’ji s’arrêta de parler car un hurlement très aigue provenant de la maisonnette de leurs voisins se fit entendre. C’était certainement la voix d’une des copines de Mistis. Cette dernière sursauta et son cœur cogna dans sa poitrine. La voix aigue disait quelque chose qui ressemblait à « Non s’il vous plait laissez-moi !!!! » C’était belle et bien la voix d’une des copines de Mistis. Une voix suppliante. Mais c’était sans doute peine perdue. L’allianceux qui s’en prenait à elle n’allait sûrement pas l’épargner. Mistis savait, bien comme tout les trolls que les allianceux était impitoyable et ne laissaient personne en vie, pas même une enfant troll. La copine de Mistis protesta encore mais sa voix s’étouffa brutalement. Comme si…
– Mistis monte, suis-moi !
Zum’ji avait agrippée le bras de sa fille et l’incitait à la suivre dans l’escalier. Elle était à présent consciente du drame qui se jouait dans le village de leur tribu et voulait se cacher elle et sa petite Mistis. La jeune trollesse ne discuta pas et suivit sa mère malgré toutes les craintes qu’elle avait à propos de sa copine qui ne criait plus. Mais arriver en haut des marches Mistis oublia sa copine en se souvenant soudain que son père risquait sa vie en combattant.

Zum’ji ferma la porte mais sursauta et s’en éloigna lorsqu’un grand craquement venant du rez-de-chaussée parvint à ses oreilles et à celle de Mistis. Le cœur des trollesses s’emballa. Il cognait très fort dans leurs poitrines. Elles étaient complètement paniquées et les bruits de pas précipités dans l’escalier n’arrangèrent rien. Elles reculèrent toutes les deux contre le mur, au fond de la pièce à coté d’une fenêtre ouverte et la porte fut enfoncée par un humain tout en armure de plates. Il avait une barbe noir et des petits yeux tout aussi noirs. L’humain leur jeta un regard qui les terrorisa. Mistis se plaqua le dos au mur. Elle aurait aimée pouvoir reculer d’avantage mais le mur l’en empêchait. Le seul moyen de fuir c’était la porte mais l’humain était devant et Mistis n’avait pas assez de courage pour oser essayer de s’enfuir. De toute façon elle ne voulait pas laisser sa mère toute seule. Celle-ci se plaça devant Mistis en rassemblant tout ce qui lui restait de courage pour défendre son enfant.
– Stop ! Arrêtez, ne touchez pas à… Zum’ji reçut un coup de poing violent dans la figure.
– Maman !! cria Mistis qui se rapprocha de sa mère.
– Fermez-là sale monstres !! cria à son tour l’humain aux petits yeux noirs. Il repoussa Mistis sur le coté d’un coup de son bouclier en métal. L’adolescente ne se plaignit pas mais une vive douleur la lançait dans son épaule là où le bouclier l’avait frappé. L’humain lâcha son bouclier pour prendre Zum’ji par le cou et la plaquer avec force contre le mur tout près de la fenêtre.
– Ne t’en fais pas, chacun son tour. Toi en première et l’autre après, dit simplement l’humain avant d’enfoncer sa large et longue épée toute entière dans le ventre de la mère de Mistis… Pas un son ne sortit de la bouche de Zum’ji. Elle fixait son assassin avec des yeux rond, stupéfait. Mais ils se fermèrent et Mistis vit sa mère mourir devant elle. Elle se releva de sa chute et alla prendre sa mère dans ses bras. Elle était accroupis et tenait la tête de sa mère dans ses mains pour qu’elle ne retombe pas sans vie. Mistis appela la trollesse qui avait été sa mère toute ses années, sa gorge se serra et son visage se crispa, déformer par la tristesse. Mistis pleurait mais ne cessait d’appeler sa mère. Et alors que c’est yeux s’embrouillait de larmes Mistis entendis le murmure de la voix de Zum’ji lui parvenir aux oreilles. Mais elle ne pu jamais savoir si sa mère lui avait réellement parlé ou si elle l’avait tout bêtement imaginé car elle s’essuya les yeux trop tard pour voir si sa Zum’ji avait dit quelque chose. Son visage ne semblait pas avoir changer d’un pouce. Cependant son murmure raisonnait encore dans la tête de Mistis. Il disait : « Saute par la fenêtre Mistis…fais-le »

L’humain ricana en regardant la scène qu’il trouvait certainement banale.
– Je ne savais pas que les trolls pouvaient pleurer aussi bien qu’un être humain, dit-il avec mépris. Aller, c’est à ton tour !
L’humain se pencha sur Mistis en tendant le bras pour l’attraper. Mais heureusement la jeune trollesse ne laissa pas la main de l’homme aux petits yeux noirs se refermer sur son cou. Elle recula et se releva. Le mur l’empêchait cependant d’aller plus en arrière. L’humain se r’avança encore mais Mistis enjamba la fenêtre pour sauter dehors. Elle faillit y arriver mais l’humain lui agrippa fermement le bras. Mistis se défendit du mieux qu’elle pu en mordant de toute ses forces la main de l’humain et lui sectionna l’annulaire. Il cria de douleur et relâcha Mistis en se tenant sa main mutilée. La jeune trollesse recracha le doigt par la fenêtre et s’apprêtait à sauter pour de bon lorsque qu’elle reçut un coup de pied dans le dos qui l’a projeta dans le vide.

Mistis retenu son souffle tandis qu’elle se rapprochait du sol à grande vitesse. Il lui sembla que son cœur c’était lui-même arrêter le temps de la chute. Elle heurta la terre dans un grand choc et son crâne percuta quelque chose de dur. Un caillou ou autre chose. Mais tout était allé si vite que Mistis ne ressentit pas la moindre douleur, elle releva la tête qui lui parut soudainement si lourde qu’elle la reposa. Elle voyait des gens courir autour d’elle sans faire attention à sa présence. Comme si personne n’avait remarqué qu’elle venait de tomber de la fenêtre.
Puis tous s’assombrit peu a peu. Elle ne voyait plus rien et le hurlement de panique ne parvenait que faiblement à ses oreilles bleus. Elle sombra doucement dans l’inconscience…

à suivre...

it's good
mais les humains ils parlent pas le trolls normalemnt !

De mieu en mieu !!! j'aime vraiment beaucoup se que tu écrit Miss !!
Mais quand tu reste sur des fin comme sa je ne peut que te demandé décrire et de publier la suite le plus vite possible...

Je sais qu'ils ne parles pas le troll et j'ai hésiter à faire qu'il en soit ainsi. Au début c'était même prévu comme ça mais pour la suite de mon histoire j'ai trouver préférable que tout le monde se comprenne.

Bah Lebourrin j'y travail ^^. Je fini les histoire comme ça pour faire bouillonner mes lecteure =P (donc je fais ça délibérément )

C'est perfide sa !

AAAHHHHHHHHHHh !!! T'as le don pr laisser planer le suspense toi !!!! GGrrrr vivement la suite !!!!

PS : C'est émouvant tt ça dis-donc....

J'ai tout vu cette histoire comme si cété un film ! J'en ai eu les larmes aux yeux =( . C'est super beau, et cé tres bien écrit.

( Et oublie pas Runkil, que les 2 factions peuvent se parler entre eux, il suffit de faire " /em " .... alors ... ^^ )

Si vous saviez comme je suis contente que sa vous plaise autant !!!

BIG KISS A VOUS TOUS !!!!

(j'attend encore l'avis de Ifduck et Kenzo ^^)

Qu'attendez-vous pour lui écrire !? Elle arrête pas de me dire sur msn " Ils ont rien écrit =( " Ca lui fait full de pepeine ... faites quelque chose !

Kenzo devrait pas tardé a laisser une réponse quand a Ifduck je vais lui envoyé un courrier ^^

Lebourrin d'écrire au chef =>

Lebourrin mets un gun sur la tampe d'Ifduck et lui hurle ceci a l'oreille :

-" Ailles ! Gros tas de m*rd* ! Commente de se pas sur l'histoire de Mistis ! Est-ce claire !!? "

Ifduck de répondre :

- " ...oui-ou...i....deee...de se pas.... "




mdr

Merzékial a écrit:

J'ai tout vu cette histoire comme si cété un film ! J'en ai eu les larmes aux yeux =( . C'est super beau, et cé tres bien écrit.

( Et oublie pas Runkil, que les 2 factions peuvent se parler entre eux, il suffit de faire " /em " .... alors ... ^^ )

mouais mais c pas vraimment parler c plutot faire des gestes!

moi j'ai l'idée pour mon histoire me manque le reste

tu voit toi aussi tu a le même problème que moi Runkil ^^
Enfin je partage quelque chose de concret avec toi...

EXPLDR !!!!!!!!!!!!!!

Bah c'est quoi le "reste" qui vous pose problème ??

Motivation;motivation!temps,ecrire...

hmmm lebourrin m'a effectivement demandé de venir voir se tres beau recit, mais pas vraiment de la manniere dt laquelle il la decrit lui..^^
cela étant, un grand bravo mistis pr se recit, et j'aimerais vraiment lire la suite
tu ecris bien en tt cas..!!
désolé de ne pas t'avoir posté mon avis avant, mais entre la fac,etc... j'avais pas vraiment eut le tps, cela étant encore c'est trés interessant a lire, on ne s'ennuie pas, continue ta biographie. j'attend la suite

le chef F.Duck